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Description de l’offre
De longues journées
La journée d'un fleuriste commence souvent à l'aube pour faire son marché chez le grossiste ou réceptionner les commandes. Le soir, une fois le magasin fermé (rarement avant 19 h 30), la journée se poursuit par l'évaluation des stocks, le rangement et le nettoyage. Fidèle au poste les samedis, dimanches et jours fériés, il réalise ses meilleurs chiffres de vente les jours de fête.
Un métier créatif mais exigeant
Le plaisir de créer des compositions originales compense les conditions de travail exigeantes. Debout la plupart du temps, le fleuriste travaille le plus souvent dans un local froid (13 °C en moyenne) et humide, pour conserver aux fleurs leur fraîcheur. Frileux s'abstenir !
Autres contraintes quotidiennes : le port de charges lourdes et le travail à mains nues. Dans ce métier, on peut se piquer et se couper. Les mains, tantôt dans l'eau, tantôt dans la terre, sont mises à rude épreuve.
Beaucoup d'indépendants
Bien que le statut de commerçant indépendant implique plus de responsabilités que celui d'employé, la plupart des fleuristes choisissent de travailler à leur compte.
Environnement du mini-stage
- Commerce
Chaque année, 1000 à 1300 postes de fleuriste sont à pourvoir.
Dans les petits commerces tout d'abord : on compte 14 000 boutiques traditionnelles, qui représentent la majorité des points de vente et emploient plus de 85 % des salariés.
Dans les grandes surfaces ensuite : le développement de rayons de fleurs et de plantes dans les hypermarchés et les jardineries des galeries marchandes a créé des emplois. À noter, aussi, le développement des fleuristes franchisés (qui gèrent un magasin appartenant à une grande enseigne).
Des évolutions de carrière
Un fleuriste débute comme employé en grande surface ou dans une jardinerie. Il peut, à moyen terme, prendre la responsabilité d'un rayon floral, devenir conseiller technique de vente pour l'horticulture ou vendeur spécialisé en pépinière. L'évolution la plus courante est de créer ou de reprendre un fonds de commerce pour diriger son propre magasin : ainsi, 75 % des salariés se mettent à leur compte après quelques années d'expérience.